À propos du projet

Le mythe de Pandore a été le point de départ du développement de cette série de boîtes. Ce sont des objets à saisir, à observer et à apprécier les images de son intérieur. Amenez l'inattendu à travers une illusion. Un plongée dans la virtualité. Chaque boîte occupe une petite fraction de l'espace et relativise simultanément cet espace, révélant un intérieur multiple et infini.

Il y a une question temporelle dans cet espace fini et petit qui, à partir de son interaction, se révèle personnelle et étendue. La lecture n'est possible que lorsque, en interaction, le spectateur rique à regarder. Comme dans l'intérieur - ou extérieur-spéculaire - de “L'ego” et du “Nocturne”, les yeux de l'observateur sont attirés et leur image ou leur Soi sont reproduits à l'infini.
L’objet présuppose un œil critique, une identité et une signification intrinsèque associée à la manière particulière de voir. Comment définir ce qui est réel ou tout ce qui est image? Dans cet univers d'images, les émotions traversent des espaces construits au-delà de la réalité.

Cette exposition en 2005 a été choisie, au moyen d'édits spécifiques et distincts, pour occuper deux espaces publics. La Cour de justice, TJMG, située à l'époque dans la rue Goiás, et la Cour de justice, à la rue Francisco Sales. Suite à l'exposition, les deux agences publiques ont été fusionnés, et ont maintenant le même bureau de la communication institutionnelle. Les deux édits prévoyaient l'occupation des espaces d'exposition et y étaient présentés sous forme d'expositions individuelles.